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Jean MABIRE Légion Wallonie 1941 - 1944

Éditions PRESSES DE LA CITE. Imprimé en FRANCE, en Octobre 1987. 334 Pages. ISBN 9782258020375.

RÉSUMÉ : Le 8 août 1941, un millier de volontaires francophones quittent Bruxelles pour un camp d'entraînement en Pologne, où ils vont constituer la Légion Wallonie. Parmi eux un homme Qui fut à moins de trente ans le chef d'un grand mouvement politique belge, le Rexisme, et qui va combattre comme simple mitrailleur: Léon Degrelle. la fin de la guerre le verra à la tête d'une division de la Watten S.S. forte de plusieurs milliers d'hommes.
De bout en bout, il partagera l'aventure de ces Wallons qui deviendront célèbres par leur courage et leur esprit de sacrifice. Le terrible hiver 1941-1942 les voit se battre dans le Donetz, où ils perdront la moitié des leurs au combat de Gromovaja-Balka. Puis ce sera la longue marche de 1 200 kilomètres.vers la mer Noire.
Réformés en une Brigade d'assaut de plus de deux mille hommes, , ceux qui se nomment « les Bourguignons », en souvenir de Charles le Téméraire, seront encerclés à Tcherkassy, sur le Dniepr. Ils briseront l'étau avec leurs camarades de la division Wiking. " restera aux survivants à se battre en Estonie, en août 1944, et à mourir en Poméranie, en mars 1945.

Jean MABIRE : Officier parachutiste. Ancien chef d'un commando de chasse en Algérie. Journaliste et écrivain. Entre son premier essai, Drieu parmi nous, en 1963, et son premier roman, Les Paras perdus, en 1987, a publié une quarantaine de livres, dont plusieurs évoquent la guerre sur le Front de l'Est entre les Soviétiques elles Allemands, renforcés par des unités de volontaires européens.


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Jean MABIRE La Panzer Division SS Wiking : La lutte finale 1943 - 1945

Éditions FAYARD. Imprimé en FRANCE, en mars 1981. 421 Pages. ISBN 9782213009650.

RÉSUMÉ : Dès le printemps 1940, alors que la guerre à l'Ouest vient seulement de commencer, les Allemands font appel à des volontaires de pays que la propagande nationale-socialiste revendique comme "germaniques". Quelques milliers de Danois, de Norvégiens, de Finlandais, de Suédois, de Hollandais, de Flamands et même de Suisses répondent à cet appel. Us vont constituer, avec des citoyens du Reich et des nationaux roumains ou hongrois d'origine allemande, une unité militaire de vingt mille hommes placés sous les ordres de Félix Steiner, ancien officier des troupes d'assaut de 14-18. Placés en tête des troupes d'invasion dans le secteur méridional du front de l'Est, ces « volontaires germaniques» vont se battre jusqu'aux montagnes du Caucase et manquer de peu d'atteindre les rives de la mer Caspienne. Cette aventure tragique et méconnue a été racontée dans un premier volume: La Division « Wiking». (Arthème Fayard éditeur, 1980).
Ce deuxième tome évoque la lutte finale des« volontaires germaniques». Leur unité devient une division blindée: La Panzerdivision « Wiking». Un bataillon d'Estoniens remplace celui des Finlandais, puis arrivent en renfort, avec le chef du Rexisme Léon Degrelle, les deux mille volontaires belges de la brigade d'assaut « Wallonie». Avec d'autres unités de la Wermacht, ces hommes de la Waffen 55, que com· mande désormais le Gruppenführer Gille, sont alors encerclés près de Tcherkassy, sur le Dniepr, et ils ne parviendront à percer les lignes .. soviétiques qu'au prix de pertes effroyables. Les survivants quitteront alors l'Ukraine pour se battre sur la frontière polonaise. Ils résisteront pendant des mois devant Varsovie, mais ils seront incapables, au début · de l'année 1945, de reprendre Budapest. Vient alors la longue marche qui les conduit vers la captivité, à travers l'Autriche et la Bavière.
Du premier au dernier jour, les "Vikings" du III Reich n'auront jamais quitté le front de l'Est, où ils ont été les plus rudes soldats d'une guerre gigantesque et impitoyable.

Jean MABIRE : Normand. Né en 1927. Après l'histoire des Janissaires ou des Samouraï el une vie d'Ungern, le baron balte qui voulait reconstituer l'empire de Gengis khan contre Lénine, Jean Mabire, auteur de l’Été rouge de Pékin sur la guerre des Boxers en 1900 et de La bataille de l'Yser sur les fusiliers-marins en 1914, a évoqué les « soldats perdus» de l'unité française de la Waffen SS. Après deux récits historiques sur les divisions de la garde pendant la dernière guerre, Les Panzers de la Garde noire et Les jeunes fauves du Führer, il prépare actuellement, à paraître aux éditions Fayard, une ample série historique sur Les grands aventuriers de l'Histoire.


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Jean MABIRE Les jeunes fauves du Führer

La division SS Hitlerjugend dans la bataille de Normandie.
Éditions PRESSES POCKET N° 2648. Imprimé en FRANCE, en avril 1986. 346 Pages. 9782266017275.

RÉSUMÉ : Saignée par les durs combats du front de l'Est et frappée en son cœur par les bombardements aériens, l'Allemagne national-socialiste connaît en 1943 de graves difficultés pour lever et armer de nouveaux combattants. En cette année capitale de la guerre, le chef de la jeunesse du Reich, Arthur Axmann, propose de former une division entièrement composée de volontaires encore trop jeunes pour être appelés sous les drapeaux. Ils sont âgés de seize ou dix-sept ans et ont tous reçu depuis leur enfance l'impitoyable éducation virile de la jeunesse hitlérienne. Enthousiastes jusqu'au fanatisme le plus absolu, ils sont prêts à tous les sacrifices et à toutes lés cruautés. Vingt mille d'entre eux vont former une division blindée de la Waffen SS, qui reçoit le nom de Hitlerjugend et devient la « Jeune Garde »» hitlérienne.
Encadrés par de jeunes officiers ayant vécu toutes les campagnes, de la Pologne à l'Ukraine, ils se trouvent en Normandie quand débarquent les armées alliées, à l'aube du 6 juin 1944. La division Hitlerjugend reçoit l'ordre de contre-attaquer dès le lendemain et de rejeter les assaillants à la mer. Mais « le jour le plus long »» a déjà décidé du sort de la bataille! Les jeunes SS montent vers le front sous un terrible bombardement aérien et parviendront tout juste à verrouiller la route de Caen. Pendant plus d'un mois, ils vont se battre, de ferme en ferme et de haie en haie, contre les Canadiens, subissant des pertes effroyables mais s'accrochant au moindre repli de terrain. Le commandeur Fritz Witt est tué dès les premiers jours du combat et un général de trente-trois ans. Kurt Meyer, surnommé Panzermeyer (Meyer-le-Blindé), le remplace. Les Alliés, qui nommaient la Hitlerjugencl la « Baby's Division », découvrent qu'ils ont en face d'eux les plus coriaces et les plus féroces des adversaires.
Après la chute de Caen, les jeunes SS ne peuvent plus aligner que deux Kampfgruppen » d'un demi-millier de grenadiers chacun. Mais ils continuent la lutte pour tenir Falaise et protéger le flanc nord de la « poche > où se trouvent prises au piège les armées allemandes de Normandie. Soixante grenadiers se battront seuls contre plusieurs régiments canadiens dans la cité natale de Guillaume le Conquérant, avant de se faire tuer plutôt que de se rendre. Seuls. Panzermeyer et quelques dizaines de jeunes SS parviendront à percer les lignes, le 20 août 1944, et à franchir la Dives. La division Hitlerjugend se trouve pratiquement anéantie à la fin de la bataille de Normandie.
Jean Mabire raconte,jour par jour et heure par heure, ce que fut le sacrifice, finalement inutile, de ces cadets allemands.


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Jean MABIRE Les paras du matin rouge

Éditions PRESSES DE LA CITE. Imprimé en FRANCE, en avril 1988. 302 Pages. ISBN 9782258008250.

RÉSUMÉ : "Une grande guerre, une guerre moderne, n'est plus possible que sous la forme d'une guerre. " Adolf Hitler. Le mettre du IIIe Reich trouva l’homme dont il avait besoin en la personne du général Kurt Student (1890-1978), ancien pilote de chasse en 14-18 et fanatique du vol à voile. Cet officier forma, dans une semi-clandestinité, deux bataillons de parachutistes dont le premier venait de la formation d'élite "Général Göring". Tous volontaires, ces hommes regroupaient dom leurs rangs des Idéalistes, des ambitieux, des aventuriers, persuadée, les uns comme les autres, qu'ils formaient une troupe de choc sans dans aucune autre armée. Le monde découvrit avec stupeur les parachutistes allemands quand ils s' emparèrent du pont de Vordhngborg, au Danemark, ou de l'aéroport de Stavanger, en Norvège, le 9 avril 1940. A peine un mois plus tard, ils sautaient, le 10 mai 1940, sur le. fort d'Eben et les ponts du canal Albert en Belgique, comme sur les défenses de la forteresse Hollande. Engagés dans des conditions terribles à Narvik, au-delà du Cercle polaire, les paras du Reich devaient ensuite sauter sur le canal de Corinthe; le 25 avril 1941, en prélude à la bataille de Crète, où ils allaient trouver, en une semaine, la gloire et la mort Toutes tes troupes aéroportées du monde se sont inspirées, ce leur tragique expérience et ont copié leur idéal de "combat sans retour".

Jean MABIRE : Jean Mabire, né en 1927. Normand d'origine. Breveté parachutiste sur Junkers 52, à Pau-Idron, en 1951. Aspirant au bataillon de choc. Rappelé en Algérie en 1958 comme lieutenant de réserve. Chef d'un commando de chasse sur la frontière tunisienne. Croix de la valeur militaire. Journaliste et écrivain. Publie, en 1963, son premier livre: DRIEU PARMI NOUS, Qui sera suivi par une trentaine d'ouvrages, dont plusieurs traduits en anglais, en italien, en allemand et en portugais. Son œuvre reste dominée par quelques grands thèmes: le Nord (THULÉ. HISTOIRE DE LA NORMANDIE. LES SOLSTICES. LES .VIKINGS. ROIS DE TEMPÊTES. LES DIEUX MAUDITS. LA SAGA DE GODEFROY LE BOITEUX), la Mer (LA MARÉE NOIRE. ÉVASIONS FANTASTIQUES. PÊCHEURS DU COTENTIN. LES CONQUÉRANTS OES MERS POLAIRES, l'Histoire (LE MASSACRE DES JANISSAIRES. LES SAMOURAï, l'ETÉ ROUGE DE PÉKIN, LA BATAILLE DE L'YSER, UNGERN, LE BARON FOU), la Guerre (COMMANO DE CHASSE, LA BRIGADE FRANKREICH, LA DIVISION CHARLEMAGNE, MOURIR À BERLIN, LES JEUNES FAUVES DU FÜHRER, LES PANZERS DE LA GARDE NOIRE. LA DIVISION WIKING). Prépare un livre sur les combats des parachutistes allemands en Crète, à paraître dans la même collection.


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Jean MABIRE Mourir à Berlin - Les français derniers défenseurs de bunker d'Adolf Hitler

Éditions FAYARD. Imprimé en FRANCE, le 2ème trimestre 1975. 337 Pages. ISBN 75-IV-35-5997-8.

RÉSUMÉ : Le premier jour du printemps 1945, quelques centaines de SS français de la division Charlemagne sont parvenus à échapper au piège de Poméranie où leurs camarades ont disparu dans les durs combats pour Korlin et Belgard. Regroupés dans le Mecklembourg, on leur offre la possibilité d'abandonner le combat et de rejoindre un bataillon de travailleurs. Nombreux sont ceux qui décident de lutter jusqu'à la fin et prêtent à nouveau le serment SS de servir «avec fidélité et bravoure jusqu'à la mort». Sur un ordre de la Chancellerie, trois cents d'entre eux seront dirigés sur Berlin et parviendront à rejoindre la capitale du Reich au moment même où les forces soviétiques referment leurs tenailles sur la ville, que les volontaires français traversent en chantant au milieu d'une population stupéfaite. Engagés dans le secteur de Neukiilln, les hommes du bataillon d'assaut Charlemagne parviennent à reprendre quelques pâtés de maisons, mais doivent se replier pâtés de maisons, mais doivent se replier sur la Hermannplatz pour n'être pas encerclés. Ils sont alors organisés en commandos d'intervention contre les chars pour défendre les grandes artères qui · mènent de la place Belle-Alliance à la porte de Brandebourg et au Bunker de la Chancellerie où Adolf Hitler vit ses derrières heures. Dans une ville en ruine, qui n'est plus défendue que par les vieillards et les enfants du Volkssturm, il ne reste que quelques unités allemandes démantelées. Pendant une terrible semaine, la poussée des forces soviétiques vers le centre de la capitale sera enrayée par les volontaires européens de la Waffen SS, notamment les Baltes, les Hollandais, les Britanniques, les Norvégiens et les Danois de la division Nordland, ainsi que les Français du bataillon Charlemagne. Après avoir mis plus de soixante chars russes hors de combat, ils seront les derniers à se battre encore au matin du 2 mai 1945, lors de la capitulation des forces allemandes. Sur les trois cents Français partis «mourir à Berlin» le 24 avril, il n'en reste plus qu'une trentaine qui voient s'écrouler l'univers national-socialiste dans le décor même du crépuscule des dieux.

Jean MABIRE : Né en 1921. Journaliste depuis vingt ans. Après un essai sur Drieu La Rochelle, un roman en marge de la guerre d'Algérie, Les Hors-la-loi, une histoire des Samouraïs, Jean Mabire s'intéresse aux soldats· perdus, du Baltikum aux kamikazes. Avec ce Mourir à Berlin, il termine sa trilogie sur la « Waffen SS française.


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